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CHAPITRE IV.

Nouvelle faveur. Premier aveu de l’amour.



Afin de ne point détruire le bonheur que l’avenir me préparait dans la maison de monsieur de Stainville, je me décidai à dissimuler auprès de la vieille Thomill, et même à entretenir son erreur. J’avais tous les jours la liberté de voir mon aimable maîtresse, et chaque jour je recevais d’elle de nouveaux témoignages d’intérêt ; j’avais toujours le soin d’assister à ses leçons de musique, et lors-