Page:Joseph Rosny - Firmin ou le Jouet de la fortune, 1798, II.djvu/130

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CHAPITRE IX.

Je rentre dans mes biens. Je retrouve mon père. Il me raconte son histoire.



Voilà, Firmin, me dit madame Bellegarde, lorsque j’eus cessé de lire, la confession sincère de tous les crimes dont je me suis rendu coupable. Le plus grand regret que j’éprouve est d’avoir causé les malheurs et la ruine d’une famille à qui j’avais tant d’obligations, et je ne me pardonnerai jamais de vous avoir séparé de votre amante. Rassurez-vous, lui dis-je, je n’en suis point séparé, elle est aujour-