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Page:Josette - Contes de Noël, 1889.djvu/91

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NOËL

larmes de l’autre, qui finissait par sourire aux caresses de sa douce protectrice.

Quand sa belle amie mit sa précieuse pantoufle sur le foyer, la pauvre enfant perdue l’imita naïvement, et les compagnes, gentilles à ravir dans leur posture d’anges, joignirent les mains et prièrent ensemble le petit Noël de s’en souvenir.

Comme on l’a vu, leurs vœux furent accomplis.

Après avoir curieusement parcouru, scruté et exploré le logis magnifique qu’elle occupait depuis la veille,