suppléé par un nouveau feuillet en papier très moderne, portant au verso 22 lignes d’écriture dont les douze premières, en syriaque[1], forment le titre ainsi libellé[2] :
ܐܝܼܠ ܐܝܼܠ ܠܐܝܠܝ ܘܿܪܐ ܐܢܼܐ. ܟܪ ܡܫܪܐ ܐܢܼܐ ܠܡܟܼܬܒ ܟܬܒܐ ܪܡܟܬܒܢܘܬ ܙܒܢ̈ܐ ܕܣܝܼܡ ܘܡܛܟܣ ܠܡܪܝ ܡܝܼܟܐܝܠ ܪܒܐ ܦܛܕܝܕܟܐ ܕܣܘܪ̈ܚܐ. ܕܟܢܫܗ ܘܩܛܦܼܗ ܡܢ ܟܬܒ̈ܐ ܕܡܼܿܪܝܒܐܣ ܟܠܪܝܐ[3]. ܘܣܘܩܪܛܝܣ ܘܬܐܘܕܥܕܝܛܘܣ[4] ܘܝܘܚܢܢ ܐܦܣܩܘܦܐ ܕܐܣܝܐ. ܘܙܒܪܝܐ ܡܠܝܼܠܝܐ ܘܐܢܕܪܘܢܝܩܘܣ. ܘܛܝܡܬܐܘܣ ܦܐܣܩܘܦܐ ܕܐܠܟܘܢܕܪܝܐ ܘܕܝܘܢܢܘܣܝܘܣ ܬܠܡܚܼܪܝܐ. ܘܝܥܩܘܿܒ ܐܘܪܗܝܐ. ܘܒܪܨܠܝܒܚ. ܘܐܒܝܦܢܝܘܣ[4]. ܘܐܝܘܢܢܝܣ ܘܫܪܟܐ ܕܐܒܗ̈ܬܐ ܡܠܦ̈ܢܐ ܒܚܝܼܪ̈ܐ. ܟܿܠܚܪ ܗܪ ܡܢܗܘܢ ܟܬܼܒ ܗܿܘ ܡܕܡ ܕܗܘܼܐ ܒܙܒܢܗ ܘܒܐܬܪܗ ܘܣܛܪ ܀
- ↑ Pour les dix lignes suivantes, écrites en caršouni, ‘Abd al-Aziz s’est inspiré du début de la Chronique de Bar Hébréus.
- ↑ Je garantis l’exactitude du texte suivant que j’établis avec une photographie du ms. sous les yeux. Dans les quatre lignes publiées par M. Nau dans le Journ. as. (nov.-déc. 1896, p. 524), il y a cinq fautes de copiste.
- ↑ Dans le ms. 306 : ܪܡܼܿܪܝܼܟܰܣ ܟܰܠܕܳܝܐ.
- ↑ a et b Sic ms.
par eux-mêmes. J’ai suppléé le début, dans mon édition, d’après la version arménienne qui a conservé assez fidèlement le texte de Michel dans les premières pages, la concision du récit ne permettant guère de l’abréger dans cette partie.