1684, l’Autriche, Venise et la Pologne se réunirent ppur fake la guerre ^n oomiilarUfu Cest<Ian5d6rétat de eho^s qu’un beglerb^ de Hongrie’avant >8a mort saî* ^t ^ barbe et dit : « Je vois qu’il n’y u phés nie èuù9 ces à espérer contre les chréUei » » (p^ 4S6). Les taiens politiques et militaires du grand*visir SuleïHnan pachavke purent arrêter les désastres ; ia ville de Bude^ flfiSÎégi^ au mois d’avril 1686^ fut prise d’assaut le 2.8e{^ : einbre et la victoire de Mokacz > (e 1 2 adût 1687^ vengea fafTront de la’défaite antérieure^ tandis qM Morosîni soumettait ia Morée. Le gifinc^visir déposé par son armée s’enfuit en septembre 1687^ et le padî>diah lui-même fut déposé deux mois après.
On attribua à son insouciance les revers lïiultijfdiés des campagnes précédentes ^ mais à tort ; à notre avis b véritable cause de ces dé&ites fut l’expérience acquise par rAilemagne et ies états avoisinans dans fe guerre de trente ans > et les améliorations que Gustave*^ Adolphe et Turenne avaient introduites dans 1 organî^ saiion de Imfanterie^ tandis qqe cette dernière se détériorait ou restait stationnaire en Turquie.
Des troubles intérieurs so^s Suieïliftân II fecilkèfetit les progrès des ennemis ^ Belgrade même fut prise, mais un grand homme fut placé à la tête dés af&ires et arrêta pour quelque temps le torrent, ce fut KdpriliEadeh-M ustaSii, fib de Mohammed Kôpriii ; dans Ta campagne victorieuse de 1600 il reprit Nissa, Widr diu, Belgrade, et repoussa {’armée impériale, mais it périt à Slankemen, le 19 août 1691, oii son armée fut défaite par le prince Louis de Bade.
