Page:Journal asiatique, série 2, tome 7.djvu/403

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restreint, mais qui, vu la richesse de la littérature sanscrite, long-temps encore ne saura être rempli ; la marche est plus seîentifiqiie et sous ce rapport os fuiit moins i envisagfer comme tme Bibliothèque îtidieniift ou Mélanges de Utl^tnre sanscrite^ que cônme^ une série de Mémoires dont les trois parties qui ont paru embrassent ia grammaire et une partie de la philosophie. Les limites d’un rapport s’^posent à une anafjfse détaillée de ces mémoires, qui, en outre, se foitt moins remarquer par dee fidti nouveaux que par une manière nonveite de les enfvisageir^ en essayant pôilr h première foi» de remonter auxibnues de’fa phiid^ Sophie indiennte yde^ïémt que M. Bdppa pris à tÉehe de découvrir les ioie des foroies giamma tiéales dé fe langue.

S’il est permis d’énoncé une opinion à ce sujet ; il semble que le nombre des matériaux dent *^n pttU disposer aujourdliui , est insaffisiani et j^euivétre le sera encore iotig-temps, lorsqnon s’élèrè à des dbjets s) întimemeht liés à Undividuàlité des natious, qui se prêtent si diffleitement vitt trana)M>rt^ quH ^t si fkdfè d’assimiler ou Avéme d-identifièr aVeece qiii se troiivt ehes n<>as. A la vérité Mi Fralik s’est proposé de trai* ter ces questions atM toute la sévérité de la critiqué pour évitqr ees ineonvéïuens, *mais if-neus semble, qu’outre h Manou dont H préjMire depuis dès années une nouvelle édition, le Bhagavadguita et les secours fournis par les Asiatic Researches et les Transactions de Londres, il n’a eu gnèMP^ de nouteaui matériaux à sa disposition ; il a plutôt épuré et plus ap-