Quel radotage que « Travail », bien un livre de vieillard. Est-ce que cette félicité de canaille, ce bonheur de dimanche et jours de fêtes, tente le peuple plus qu’il ne me tente ? Quand Zola exécute son rêve de transmuter la somptueuse solitude d’un parc privé en préau d’asile pour la marmaille et les ménagères accouchées, on a le plus désintéressé cri de désespoir ! Et toujours, toujours ce bonheur public, cet amour public, il donnerait la nausée du peuple, si l’on n’était pas tout de même de nationalité chrétienne. Les parcs sont faits pour les châtelaines et les braconniers et les belles forêts sont moins souillées par le passage des charbonniers que par les déjeuners de famille.
Amorcer de suite toutes mes habitudes, il vaut mieux commencer mal, in a hurry, que remettre, fût-ce d’un jour. Car le mal n’est pas le temps, mais le mouvement perdu.
S’entraîner si merveilleusement à l’action immédiate, qu’on arrive à la réflexe d’une perpétuelle et parfaite disponibilité.