lés plus difricilesôc abstrus secrets des sciences. C’estla,-MADAME, cette autre moisson de’gloire qui se présente à’vo streMaiesté,estant k plus grande d’entre les Reynes Chrestiennes, tout ce qu’il y a de grand ÔC singulier doit estre l’objet de vostre généreuse ambition : Ainsi vostre-juste ialousiëne permettra qu’aucuri luy rauisse cette palme des mains* Epoint d’vn pur désir ÔC del’atteute que ces considérations porterontcoup en ia douceur de vostre bon iugement : l’ay voulu à l’abry de vostre grandeur, donnera la Noblesse Françoise vn auantgoust de cette facilité quiparoist en l’apprentiífage des sciences que plusieurs estimentde rude ôceípineux accez. L’opinion que i’ay eu de faire çhòse qui leur soitvtile ôc à vous agréable,nia rehausse le courage pardessus mes forces ordinaires, espérant que cet oeuure réussira sousi’autho rité de vostre no in tres-auguste, ôc que vous estant à gré, il sera bien receu du public. Que.si pour marque de cette approbation vous m’honorezde y os commandemens,alors mon eíprit se surmontant soy-mesme par linípiration de vostre faueur, s ose promettre de produire à l’aduenir quelque plus grandfruict qui autorisera pleinementl’hommage d’vne parfaite obéissance que vous désire rendre^ MADAME, >
- De Yostre Majestés
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.,.,’. .. !,’... ’ - .1 .* tres- humble jttes- obéissant, 8c ’.'• ;"’ :’ ' :’ : tr«s-fìdeHeferuireiirpi :íuhjeét . - ’-. ’ r.’ :y : ..- ; JO’i-.’D-ï-’.iyí^-N-’i'i- •
