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/^/ ;:^>^^, ;t E :: C ;;T"Èrv R.... y l Je mejle :de :plujiçurs chojes ne’peut qu’il’-n’aitaffai-. re a plusieurs personnes ; & comme, elles :s’en Cernent. foutes,_a, dium-. : vsages•-, s’il désire les-contenter 3 il doit exprimer, fès desseins à diuers ’vilàq-es-. - ; afin qu’encette variété les vnes ch.ojijjent.grprennent pour elles félon, leur appétit yçe que d’autres al’aducnture auroìent rejette par quelque degouft. Çbàcunsfait combien-il.ejlpérilleux de s’exposer Jans nécessité a vn iugement public où riennepeuteuiter Vne iu.jìe censure yJî <vm êxcellenfe nature aidée par vn art .exquis fy assidu labeur ríà con-. dmól a laperfeél’ion ce. que, /on produit au iour ; & spécialement en vn ouura^e d’vn grand’ dcjjcin ^debeaucpup. de loisir x omlejtprep. ’. qu impossible quéìlcsplusverje’^ es ;sciences’m's’yméprennent 3ygardknt bar. tout tinúention^, l’ùfdre j & l’ornemenf nécessaire. G’eíì pourquoy. quandi.e me. fuis proposé d’exposer au plus grand iour de la France ce notable ejjay Ae mon esprits ie n’ay point méconnu fa foi--Messes ayantpremièrement a venir a la rencontre desmeilleursfy’plus forts antagonifies.de eesiécle 3 fy secondement lors que ie me fuis engagé au traité de cette grande /variété’de. fubjeéls où-ìtoutes les sciencesdoiuen. t. entrer en ejeet pour le rendre parsaiél ; où ;ce qui efîelabouré fera recherché de.peu de :gens.yfy :cequiep defeélueuxsera xemarqué d’vn chacun.l "Oê^l^^^eie : reconnus^me ce m’ejlôit beaucoup éauantàgfe damiradifcourkde tonus xhojes oùàs ne pouiïoïs .man-.
