Page:Jules Bois - Visions de l'Inde.djvu/212

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
198
VISIONS DE L’INDE

étincelantes : j’en admire le pouce, qui, pareil à un oiseau, se dresse ; il attire la caresse, et on voudrait le prendre dans ses lèvres pour le préserver de la poussière des chemins, ce pouce où toute son inquiétude vibre, étranglé par un épais anneau d’argent.