gnomonique et d’attribuer à ce dernier sa véritable signification.
La connaissance de la pathologie, un esprit droit et observateur peuvent seuls permettre d’obtenir un pareil résultat.
En présence de l’animal malade, tout est à faire, tout est à trouver ; encore, si le sujet était à même de donner quelques renseignements sur son état antérieur à la maladie, sur la cause qu’il supposerait l’avoir produite et sur son état actuel, le problème serait de beaucoup plus facile à résoudre ; mais, on le sait, nos animaux, privés de la faculté de la parole sont incapables d’alléger la tache du praticien en lui indiquant les divers points sur lesquels il lui importe d’are éclairé. Il est vrai, qu’on peut quelquefois avoir recours à la personne chargée du soin des animaux pour apprendre d’elle les commémoratifs nécessaires. Je dis quelquefois, car il arrive trop fréquemment, que, grâce à son incurie, aucun renseignement ne peut être obtenu.
C’est avec raison que l’on a maintes fois comparé