Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/108

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comparable au char, et le cœur à ce bœuf. Il faut conclure de là que vous devez brûler votre cœur. À quoi bon torturer votre corps ? Le corps est comme une pièce de bois inerte, comme un mât de navire ; si vous le brûlez, à quoi cela vous avancera-t-il ? »

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchoang-yen-king-lun, livre II.)