Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/64

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tous les hiboux se réfugièrent promptement dans leur trou.

Le corbeau profita avec joie de cette occasion : il s’élança vers un endroit où des bergers avaient allumé du feu, apporta dans son bec une branche enflammée, et incendia la demeure des hiboux, qui, en un instant, furent consumés au milieu de leur trou.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tsa-p’ao-thsang-king, livre VIII.)