Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/145

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lui fit sentir. « C’est, dit l’aveugle, un de vos élégants écrits.

— Comment le savez-vous ?

— C’est, dit l’aveugle, qu’il exhale une certaine odeur d’huile[1]. »

  1. C’est-à-dire qu’il paraît avoir coûté beaucoup de peine et de travail.