Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/204

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— Touché de ce tendre intérêt, qui adoucit mes souffrances, | je veux, bons vieillards vous dire une chanson. » | Mes chants ont cessé ils m’écoutent encore, le cœur gros de soupirs. | Puis immobiles, les yeux au ciel, ils essuient les larmes qui roulent le long de leurs joues.