Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/46

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des sots et des méchants, les malheurs et les châtiments viennent fondre sur lui. Il en est d’eux comme de ce papier qui est resté odorant pour avoir approché d’un parfum, et de cette corde qui est devenue infecte pour avoir lié du poisson gâté. Dans le commerce des hommes, nous contractons peu à peu des habitudes bonnes ou mauvaises, sans jamais nous en apercevoir.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-yu-pi-yu-king.)