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Liu-pou reconnaît Tiao-tchan ; il se trouble et n’est plus maître de son émotion. Tong-tcho est frappé de l’incohérence de ses paroles, il l’observe et voit qu’il ne songe qu’à plonger ses regards dans l’intérieur de l’appartement.
« Fong-sian, lui dit-il, puisque aucune affaire ne t’amène ici, retire-toi. »
Liu-pou revient chez lui, l’âme en proie aux plus cruels soupçons. Sa femme, voyant la tristesse et la douleur peintes sur son visage : « Qu’avez-vous ? lui dit-elle ; est-ce que le premier ministre vous aurait grondé ?
— Comment le premier ministre pourrait-il me faire la loi ? »
Sa femme n’osa pousser plus loin ses questions.
Depuis ce moment, Tiao-tchan absorbait