de Julien, moins considérables à la vérité, que ceux qu’on retire de la connoissance de l’histoire Ecclesiastique ; mais qui cependant ne laissent pas que d’être trés-utiles : ils regardent l’histoire prophane, les antiquités, l’élégance & la pureté du langage, enfin toutes les parties des sciences, auxquelles on a donné le nom d’humanités. L’on peut dire que dans ce genre, on trouve des choses dans les ouvrages de Julien, qu’on ne découvre en aucun autre endroit.
Il seroit à souhaiter pour le Père Petau, qu’ayant pensé d’une manière si judicieuse sur les ouvrages de Julien, il eût eu de la personne de cet Empereur une idée aussi juste. Je ne sais par quel caprice il trouve[1] mau-
- ↑ Quo in genere postremus editor Juliani Caesarum nimis temere ; ne quid asperius dicam quod dici profecto potest ; qui sic ornare Julia-
qua, quæ vel nusquam leguntur alibi ; vel plenius, quam ab aliis ; nec sine scitu dignissimarum rerum accessione tractantur. id. ib.