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Page:Julien l’apostat - Défense du paganisme par l’empereur Julien, en grec et en françois, 1769, tome 2.djvu/8

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τῶν ἑαυτοῦ φίλων καὶ συγγενῶν μεταστῆσαι.

Ταῦτα μὲν οὖν καὶ μικρὸν ὕστερον, ὅταν ἰδίᾳ περὶ τῆς τῶν εὐαγγελίων τερατoυργίας καὶ σκευωρίας ἐξετάζειν ἀρξώμεθα. νυνὶ δὲ ἀπoκρίνεσθέ μοι πρὸς ἐκεῖνο· πότερον ἄμεινον τὸ διηνεκὲς μὲν εἶναι ἐλεύθερoν, ἐν δισχιλίοις ὅλοις ἐνιαυτoῖς ἄρξαι τὸ πλεῖον γῆς καὶ θαλάσσης,

,,Mapheus Vf gins in lib. de bono pedeverant. p. tgo. S. Ambroife fait le même reproche à cet Empereur Julien. dit-il, abandonna fauteur de ion falut, pendant qu’il fe livroit à !’erreur de !a philofophie. ~M~t/M~~<P ~/t~<!M~OTF~ <~<<P~ ~M~~OM. Ambro~ de obitu Theodoiii. p. !82. 3 Et /M M~j. It a’c~ point de livre où la verité paroige avec plus de<impticite, &enmême temsavec plus d’éclat que dans les Evangiles. Les miracles y ibnt rapportés avec !a même candeur & la même ingénuité ~oe les faits ordinaires. On fënt que les EvangeMes