Page:Kant - Doctrine de la vertu.djvu/388

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
264
DE LA MORALE FATALISTE


jeu de ses instincts et de ses penchants, il admet nécessairement la liberté de la volonté, sans laquelle il n’y a pas de morale, quoiqu’il se soit déjà refusé à lui-même cette faculté, faute de pouvoir mettre d’accord ses principes pratiques avec ses principes spéculatifs. Il faut d’ailleurs convenir que sur ce point il ne perdrait pas beaucoup, puisque cela ne réussit à personne.