Page:Karamsin - Histoire de l'empire de Russie, Tome X, 1826.djvu/418

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écu de l’empire (reichsthaler) valait douze altines, et un ducat dix-huit altines (ou cinquante-quatre kopeks actuelles), quelquefois plus, quelquefois moin.

(223) Des Tchettes ou Tchetvertes. — Voyez tome IX de cet ouvrage. — Doit-on ajouter foi à Margeret qui dit (p. 56), que les paysans du Tsar lui payaient annuellement dix, douze et quinze roubles (c’est-à-dire soixante roubles en argent actuel), pour sept ou huit dessetines de terre labourable.

(224) Fletcher (f. 40 et 42).

(225) Collection des actes du gouvernement (t. Ier., p. 584).

(226) Fletcher (f. 53).

(227) Fletcher dit, par plaisanterie je crois, qu’Ivan avait exigé un jour des habitans de Moscou plusieurs mesures de puces vivantes, et que ceux-ci, ne pouvant les rassembler, furent obligés de payer sept mille roubles. On prête aux riches.

(228) Testament d’Ivan (1572).

(229) Le Soudebnik de Tatisicheff (p. 103).

(230) Fletcher (p. 32). — Margeret (p. 43, 67). Le dernier dit que le présent, selon la loi, ne pouvait être taxé plus haut que dix à douze roubles. Les ducats haussaient toujours de prix au moment des couronnemens, parce que les marchands faisaient leurs présens au nouveau Souverain en pièces d’or.

(231) Les conquêtes de Jermak et celles que nous avions faites plus récemment dans l’Asie septentrionale, nous avaient enrichis de pelleteries. Fédor défendit aux