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voïévodes de Sibérie (voyez Affaires de la Perse, no. 4) de laisser sortir pour aller en Bukharie, ni zibelines précieuses, ni renards noirs, ni les faucons nécessaires pour la chasse du Tsar et pour les présens à faire aux souverains européens.

(232) Auparavant, dit Fletcher, ils exportaient cinquante mille pouds, mais à présent ils n’en exportent que dix mille, parce que la Russie ne possède plus le port de Narva.

(233) Affaires de la Perse (no. 4, f. 71).

(234) Voyez, dans les Archives du Collège des affaires étrangères, les rapports de Kolmogore en 1604 et 1605 (no. 1).

(235) Voyez, dans les Affaires de l’Autriche, l’ambassade du diak Vlassieff auprès de l’Empereur (1599).

(236) Chronique Anséatique (t. III, p. 163).

(237) Voyez tome IX de cet ouvrage. — Fletcher, louant le bon sens des Russes, ajoute que l’on apercevait un esprit naturel chez les hommes et chez les enfans en bas âge.

(238) Livres du Rosrède (1594).

(239) Le titre : Livre nommé en grec, Arithmétique ; en allemand, Algorisma, et en russe, la Science du calcul en chiffres. — À la fin de mon exemplaire, et d’une écriture plus moderne, se trouve intercalé l’ouvrage de Galène sur le grand et le petit monde, avec cette note : « Extrait, au couvent de Kiritof, du livre de notre révérend père l’abbé Saint-Cyrille de Bélosersk, en 7143 / 1630 ».

(240) Affaires de Pologne (no. 20).