(268) V. Margeret. — Bär. — Pétréjus, 220. — De Thou, CXXXV, 55.
(269) V. Dyaryusz wesêla z Maryna}}, écrit par Diamentovsky, dans Naruszew. — Histoire J.-K. Chodkiewicza, tom. I, p. 244 et 435, dans la note 54.
(270) Bär raconte que le faux Dmitri avait les meilleurs chiens anglais, pour la chasse aux ours ; qu’une fois étant avec ses Boyards à Taïninskoé, il ordonna d’ôter la chaîne à un ours, monta sur lui et le tua sur-le-champ.
(271) V. La Légende, 8.
(272) V. Collection des actes de l’Empire, II, 261.
(273) V. Rzeczy Polskich w Moskwie za Dymitra}}, dans les extraits d’Albertrandi.
(274) V. De Thou, CXXXV, 52. Plus tard nous parlerons des ruines de ce palais de Boris. Le faux Dmitri le fit démolir comme l’habitation d’un sorcier. On assure que l’on a trouvé dans un souterrain une statue tenant une lampe allumée dans sa main, et entourée d’une grande quantité de poudre à tirer, par laquelle tout le Palais et le Kremlin auraient sauté, si l’on n’avait pas éteint la lampe et détruit la statue.
(275) V. Rzeczy Polsk, etc. — Niemcew., t. II, 578.
(276) V. Le manuscrit contemporain des notices sur Godounoff. — Les Chronographes. — Wagner, Histoire de l’Empire Russe, 129.
(277) V. Palitzin, 24. — Chronique de Morosoff. — Bär. — Pétréjus, 318. — D’après les Annales de Nikon, Xénie vécut avec le faux Dmitri, cinq mois. — Collection des actes de l’Empire, II, 243.