le 3 décembre 1605, et en avril 1606, l’exhortant à contribuer de tout son pouvoir à l’introduction de la croyance latine en Russie, et encore deux lettres à l’Imposteur, du 11 février et du 10 avril 1606. (V. les extraits d’Albertrandi de la Bibliothèque du Vatican, f. 659-670. — Niemcew., t, II, 554. La dernière lettre n’est plus parvenue au faux Dmitri.
(291) V. la Légende 7.
(292) V. Collection des actes de l’Empire, II, 266.
(293) En août 1605. — V. la Collection des actes de l’Empire, II, 213.
(294) Voilà le titre du faux Dmitri en latin : Nos serenissimus ac invictissimus Monarcha Demetrius Joannis, Dei gratia Cesar et Magnus Dux totius Russiæ, universorumque Tatariæ Regnorum atque aliorum plurimorum dominiorum, Monarchiæ Moscoviticæ subjectorum, Dominus et Rex. — V. la Collection des actes de l’Empire, II, 221 et 224.
(295) Au secrétaire du faux Dmitri, Ian Boutchinsky en janvier 1606. — V. la Collection des actes de l’Empire, 259.
(296) V. Rzeczy Polskich.
(297) V. Niemcew., t. II, 534. — Poselstwo kn Moskiew. Dimitra.
(298) On dit(V. Grévenbrouk, 32, et Piassezky, 223) que ces présens, avec ceux envoyés à Mnichek et à ses parens, étaient d’une valeur de deux cent mille ducats ! Plus tard, le secrétaire Boutchinsky remit à la fiancée une croix en diamans, avec le chiffre de Marine, d’un prix de douze mille florins, un collier en pierres précieuses, un