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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/21

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et leur plume, elles sont en bien petit nombre chez nos voisins et chez nous, et sans doute seront trop peu lues pour faire beaucoup de mal. Nous avons en France des femmes qui nous consolent de pareils écarts, qui ont l’art de peindre la vertu comme un bien qui leur est propre, de la rendre aimable, parce qu’elles la connaissent, de faire sentir qu’elles trouvent dans ses charmes, la paix et