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le bonheur, qu’elles invitent les jeunes cœurs à partager avec elles. Parmi elles, en était une que nous avons à regréter. Je n’ai connu madame Cottin que par ses écrits, mais ils m’ont vivement intéressée. On y trouve des caractères hardiment dessinés et parfaitement soutenus, en deux genres bien opposés. Ceux de la comtesse de Waldemar et de l’archevêque de Tyr, sont deux chefs-d’œu-