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vres, et l’on ne doit pas chercher même à imiter le dernier. On dit qu’elle avait dans le caractère toute la sensibilité qu’elle a exprimée avec tant de grâces ; que sa piété dans le monde comme dans ses écrits, était douce et consolante, sans faste, sans ostentation, et qu’elle a laissé dans sa famille, et chez ses amis, le souvenir de ces vertus privées qui sont le domaine des femmes. Je crois donc être