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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/52

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ter, car elle était épuisée de fatigue et d’inquiétude. Ils se reposèrent, et comme avec de l’argent on aplanit toutes les difficultés, John ne tarda point à procurer à sa belle maîtresse toutes les commodités qu’elle pouvait désirer. Il envoya à Richemond, sur la Swale, acheter des habits grossiers dont il fit fabriquer dans la cabane deux habits de paysans pour lui et pour Caroline ; il acheta du bétail, comme pour le conduire à Chester, où il avait des lettres à rendre de la part de lady Amélia, et après huit jours de repos dans la mon-