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attiré les regards de Barclay ; elle y précipite ses pas chancelants ; un large fossé se présente : impossible de le franchir ; il faut tourner autour, et sa course peut être apperçue ; il le faut cependant. Elle arrive à l’angle qui regarde le bois, se glisse dans un chemin creux où elle descend avec joie ; le sentier continue assez long-temps : arrivée au fond, elle hésite, s’arrête, écoute, n’entend rien ; elle se hasarde à monter de l’autre côté. Arrivée à la crête, elle apperçoit à l’écart une maison qui lui semble de peu d’apparence. Autant qu’elle