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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/182

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n’existera plus. — J’en accepte l’augure, répliqua vivement sir Charles, et je m’en repose sur vos bontés présentes. Ils reprirent le chemin de la chaumière. Milady eut l’attention d’appuyer elle-même la faible Caroline, et dans la maison où elle voulut bien accepter un modeste repas, elle fut aussi affable et aussi indulgente qu’elle était autrefois hautaine et sévère. Caroline l’observait d’un œil curieux, mais son maintien, d’abord avec son langage, ne démentait point les dispositions qui avaient été annoncées. Caroline finit par ne plus considé-