bien entendu, que ceux qui payent, ou en argent, ou en bassesses, ou en mauvaises actions ; et lorsqu’il se présente de bonnes gens qui veulent entrer sans sacrifier la bonne renommée, elle les envoye à la grande porte, d’où Richesse orgueilleuse les précipite en arrière, et s’en débarrasse, de cette sorte.
La troisième façade n’est pas si brillante que les deux autres ; c’est la Pauvreté qui en garde la porte.
Une porte, à droite au milieu,
Qui assés bien affiert au lieu ;
Très laide, noire et desrompue,
Ne au flairier (à l’odorat) n’est riens qui tant pue,
Mais grant et lée est à merveille.
Là, fait ont maints pouures veilles :
Et là, s’assemblent maint pouure gent
Qui n’ont ne pain, ne vin, n’argent.
Une dame la porte garde.
Qui n’a des larrons nulle garde.
Pouureté est celle nommée,
Qui de nulle gent n’est araéc.
Et très laide est, et de* :ouIourée i
Toute semble estre allangourée ,
De pouureté, de froid et de faim*
[1]
Ne scay comment froit ne la tua
En yuer ; car elle est vêtue
De vieille robe pouurement,
Ot une cotellef vieille et,…
Tout derompu, si not linge,
- ↑ Il y a ici un vers oublié par le copiste