Chenaye ; de Courson-Villepirault ; Marie Hamon de Kervers ; Marie-Anne Hamon de Kervers ; Kergoumaux Chassin[1].
Je pourrais également donner les noms des détenus de Saint-Malo, ville avec laquelle Quintin faisait de très grosses affaires. Je me contenterai d’indiquer les noms des femmes qui furent guillotinées et ceux de quelques hommes :
Femmes : De La Grassinais ; de Saint-Pern-Coalan ; Coëtisac ; de Carman ; Geslin ; Guillot ; Delise ; Vincent Bassablond ; de Landécot ; Bougourd ; une Religieuse ; Quesnel ; Le Chapelin.
Hommes : Dassise, prêtre ; Retif, id. ; Gardy, commis du citoyen Sablinais ; Sablinais-Magon ; La Lande-Magon, père.
Le 24 juin 1791. « … La garde nationale de La Roche-Derrien fut chargée de fouiller plusieurs châteaux des environs. Elle avait visité Chef du Bois et Kericuff ; quand elle arriva dans la nuit au château du Rumain, le comte
- ↑ En outre de son Conseil Municipal, Quintin avait une Commission révolutionnaire composée de douze gredins dont je m’abstiens de donner les noms. Un soir, l’un d’eux, qui demeurait à environ six kilomètres, fut fusillé à quinze cents mètres de la ville. Cette exécution, selon l’habitude, fut mise sur le compte des Chouans. Grâce à cette Commission, la ville était ornée d’une papesse, déesse Raison. C’était une ancienne cuisinière nommée la veuve Larose.