nait pour le deuxième bataillon du Lincolnshire. Là-dessus on est forcé de gueuler pour se faire connaître, et quelqu’un lance The wearing of the green[1]. Cela me mit des fourmis tout le long du dos, rapport qu’on n’avait pas déjeuné. Puis, vlan ! dans notre arrière-garde, vient s’épater le restant des Jock Elliott’s[2] avec quatre cornemuses et pas la moitié d’un kilt à eux quatre, jouant comme si leur vie en dépendait, et tortillant du râble comme des lapins, plus un régiment indigène hurlant : Au meurtre ! au feu ! Vous n’avez jamais rien entendu de pareil ! Il y avait là des hommes qui pleuraient comme des femmes — et, ma foi, je ne les en blâme pas ! Là où je n’y tins plus, ce fut de voir la musique des lanciers luisants et fourbis comme des anges, le cheval timbalier en tête, et les timbales d’argent, et tout, et tout, attendant leurs hommes qui venaient derrière nous. Ils commencèrent à jouer le galop de cavalerie, et,
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