il me fixa avec intention — d’une personne extrêmement — oui ! — illettrée.
Il lut lentement sur le papier : Pollock, Erkmann, Tauchnitz, Hennicker, — quatre noms qui m’étaient familiers.
— Pouvez-vous me dire ce que cette corruption est censée signifier, — le fin mot de la chose ? demandai-je.
— J’ai été… bien des fois… vaincu par la fatigue dans ce métier-là. Voilà ce que cela signifie.
Il me rendit le papier, et je m’enfuis sans un mot de remerciement, d’explication ou d’excuse.
On m’eût excusé d’oublier davantage. Voici que m’était donnée, à moi entre tous les hommes, la chance d’écrire le plus merveilleux récit du monde, tout simplement l’histoire d’un galérien grec racontée par lui-même. Rien d’étonnant, en effet, à ce que son rêve eût semblé réel à Charlie. Les Parques, si soigneuses, en général, de clore derrière nous les portes de nos vies