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Page:Kleist - Contes, t. 2, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/159

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en le serrant tendrement dans ses bras :

« Ô mon ami ! tu ne me serais pas apparu alors comme un diable, si la première fois que je t’ai vu, tu ne m’avais semblé un ange descendu du ciel. »

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