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CHAPITRE VIII.

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Lorsque l’infortuné Kohlhaas eut entendu sa sentence de mort, on lui rendit ses papiers. S’occupant alors de mettre ordre à ses affaires par un testament, il les adressa à son honnête voisin de Kohlhaasenbruck, qu’il nomma tuteur de ses enfans.

Il jouit d’un calme et d’un bonheur