Page:Kleist - Contes, t. 3, trad. Cherbuliez, 1832.djvu/134

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tant de côté son ouvrage, se retira dans sa chambre à coucher. Il était sur le point de se lever pour la suivre, lorsque Piachi entra en demandant où était Elvire : « Elle n’est pas bien, répondit une femme de chambre, elle vient de se mettre au lit. » Piachi, sans montrer beaucoup de surprise, sortit pour voir ce qu’elle avait ; et comme un quart-d’heure après il rentra en disant qu’elle ne paraîtrait pas au souper, Nicolo pensa avoir trouvé le mot de toute l’énigme qu’il avait découverte.


Le lendemain matin, tandis que, dans sa joie, il était occupé à chercher le moyen d’utiliser sa découverte, il reçut une lettre de Xaviera, qui le priait instamment de venir auprès d’elle, ayant quelque chose d’important à lui communiquer au sujet d’El-