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— VIII —
la mort, un sage dans toute l’acception du mot.
Je ne connais pas de mort plus belle que celle
de ce colonel, maintenant son monde immobile
sous le feu de tirailleurs égarés par des
chefs misérables, ayant tout prévu, tout ordonné
pour le cas où il serait tué, et tombant
à son poste sans une plainte, et sans doute
avec l’amère pensée de ne plus jamais revoir
une femme et des enfants qu’il adorait ».
Puisse cette impression d’un chef qui n’est plus, et que nous aimons à rappeler ici, être partagée par ceux qui apprendront, par la lecture de ce journal et par le récit de sa mort, à connaître le Colonel Klobb. En livrant ces pages aux lecteurs, nous ne formons pas d’autre souhait.
K.