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Page:Krysinska - Intermèdes, 1903.djvu/25

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Cependant le corps,
Sans nul désarroi,
Se tient tout droit,
Comme appréhendé au collet
Par les recors.

La danseuse exhibe ses bas noirs
Sur des jambes dures
Comme du bois,
Mais le visage reste coi
Et l’œil vert,
Comme les bois,
Ne trahit nul émoi.

Puis, d’un coup sec,
Comme du bois,
Le danseur, la danseuse
Retombent droits
D’un parfait accord,
Les bras le long
Du corps.
Et dans une attitude aussi sereine
Que si l’on portait
La santé
De la Reine.
......

Ou la valse entraînante et voluptueuse :

— Ah ! pourquoi de vos yeux
Tant appeler mes yeux
Et pourquoi d’une folle étreinte me dire
Que tout est puéril,
Hors l’élan de nos cœurs
Éperdus, l’un vers l’autre, etc.