Page:Krysinska - Rythmes pittoresques, 1890.djvu/25

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Qui roulent maintenant dans leurs noirs replis
Les Vertiges sonores.

La Nuit conquérante
Est venue
Et l’on voit onduler la traîne
De sa robe frangée d’humides étoiles
Puis disparaître.

Voici poindre au loin
Les Phares.