Page:Krysinska - Rythmes pittoresques, 1890.djvu/29

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Une paix maléfique plane comme un oiseau
Faisant rêver de mort le plaintif olivier
Et de forfaits le figuier tenace
Dont le fruit mûr se déchire et saigne.

Les sources — comme elles sont loin !
Et les Naïades —
Où sont-elles ?

Mais voici — joie des yeux —
Près de la roche courroucée
Le petit âne gris
Mangeur de chardons.

Nice.