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Souvent, hélas ! le cœur où notre cœur s’est réfugié,
Est un jardin merveilleux où s’épanouissent des roses en satin et des camélias de velours,
Où étincellent — pareils à des gouttes de vin et pareils à du sang, — de faux rubis, auprès des turquoises en porcelaine, dont le pâle reflet charme comme un coin du ciel.

Je rêvais que je me promenais en un jardin merveilleux.

30 juin 1883.