Page:Krysinska - Rythmes pittoresques, 1890.djvu/59

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Sont brillantes comme au travers d’intarissables pleurs.

Malgré le sourire ambigu
Qui près des joues volète
Ainsi qu’une abeille
Vers le miel enivrant des lèvres.

Et, toute la mer apaisée,
Se prosterne devant
La grande Reine
Victorieusement surgie du fond de la tourmente.

Tandis que sur le ciel,
Flambe sa chevelure comme une torche ardente.