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Page:L'Écho des jeunes, Novembre 1891.djvu/6

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L’ÉCHO DES JEUNES

Le jeune homme avait encore les yeux ouverts. Héléna vit son regard.

Elle eut la lâcheté d’espérer, et se cramponnant à cette tête sanglante, elle jeta, mais vainement, dans les flammes, ce cri tragique d’ignoble terreur :

— Je t’aime, sauvez moi ! sauvez-moi !


Fernand Lafargue