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Page:L'Écuyer - La fille du brigand, 1914.djvu/18

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LA FILLE

II

Les premiers essais de François-Eugène L’Écuyer furent publiés sous le pseudonyme de Piétro, dans le « Ménestrel » de Québec, vers 1844. Notre auteur n’était qu’un étudiant en loi de 22 ans quand il publia dans le « Ménestrel », la nouvelle : « La Fille du Brigand ou les Brigands du Cap Rouge. » Le « Répertoire National », paru en 1848, reproduisit dans son 3ème volume la nouvelle que nous étions présentement, sous la date de 1844, et précédemment, dans le deuxième volume, une courte nouvelle d’une dizaine de pages intitulée : « La Campagne ». C’est à peu près tout ce que Lareau connaît d’Eugène L’Écuyer. Nous ne résistons guère au désir de citer ce qu’il en dit, à la page 277 de son « Histoire de la Littérature Canadienne » :

« Eugène L’Écuyer, qui cultivait la prose à une époque où les littérateurs étaient rares, où il n’y avait pour ainsi dire qu’un groupe restreint de publicistes, d’annalistes et de poètes médiocres,

    prêtre, curé de Saint-Paul, Révérend M. Mercier, curé de Saint-Magloire et un grand nombre de parents et amis soussignés avec nous. Lecture faite.

    (Signé) P. R. Plamondon,
    Signé L.-Ad. Grenier, Ptre,
    Signé Jos. Galerneau, Ptre,
    Signé J.-Théod. Mercier, Ptre,
    Signé Chas.-Clé. Lévesque, Ptre, Curé.


    xxxxLequel extrait, nous, soussigné, curé de cette paroisse, certifions être conforme au registre original déposé dans les archives de la dite paroisse.

    Donné à Saint-Philémon, le 11 avril 1913.

    J.-A. Moreau, Ptre, curé.