Avertissement. — Le confesseur doit savoir que si le mari de sa pénitente est onaniste, c’est-à-dire s’il répand le sperme hors du vase naturel, celle-ci est tenue d’employer les moyens que lui dictent la prudence et la charité pour l’amener à s’amender. Mais si le mari refuse de s’amender et si la femme craint qu’il persiste dans ses agissements, comme la chose est présumable, celle-ci peut néanmoins rendre le devoir conjugal, à la condition de ne pas se complaire dans le crime de son mari, d’après la réponse de la sacrée congrégation de la Pénitence, du 23 avril 1832.
1. — En se livrant à la masturbation, regardant leurs parties sexuelles et faisant des attouchements sur elles-mêmes.
2. — En caressant légèrement avec la paume de la main la partie supérieure de la matrice.
3. — En touchant du doigt le clitoris à l’intérieur du vase, etc.