Page:Léon Deschamps - Les Colonies pendant la Révolution, La Constituante et la réforme coloniale, 1898.djvu/93

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LES TARTIS

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!’.^’^ d’aoïU 1789, elle conleslc les pouvoirs 

fîUer r"*^*^ ^° Saint-Domingue et décide « d’éloilos , ,1°"*^ décision de l’Assemblée nationale sur l"s d, !|^*^^ ^’^ ^’^^^ "• ^" septembre, elle reçoit il^jjV’ 'Sués (les mulâtres (Ogé, Raimond, Puyl’Il, /’^^’ et de Joly), et elle rejette leurs demandes. ^"lotT’^^’"'^’^ nvec le ministre la Luzerne et lui fait IVicjH.^’ !' ’e plan de Morean de Saint-Méry sur la VrippV-’"^ ^"^s Assemblées coloniales. En fc- ■ iisi,. ■^’^ ^^ D^ai 1791, elle fournit à Barnave des .si,jjj,^^°"s et mémoires pour les grandes discusnipi ^^ ,’l*^l "loit soutenir à l’Assemblée. Elle se vjllp 1"^ ’e 27 août 1789, en relations avec les f’i'a / "^"nimerce et avec les colons résidant en ^’ous^ " ^^ Société, leur dit-elle, a résolu do Ipfj. ’^^Poser une cort/ ;7io/t qui peut faire produire ’îiiic. ^’^ •^^’^ d’éclairer la nation sur l’imporiiii, Pesque incalculable du commerce des colo sur la nécessité de pi’oscrire à jamais le 1-1 loi"^"" flc’s Amis des Noirs, qui l’anéantirait. » ’l'^s 1°"^^’^ ainsi une fédération de clubs à l’instar ,l ;„,^,’."^’^l^ins et longtemps avant eux. Comme les ,,||^^ "ns elle tente d’agir sur les municipalités ; „ j. "’ trausmet, par exemple, ce mot d’ordre : Votp ’^'^ instant de prescrire à vos députés de et

^*^’^i les colons de l’hôtel Massiac organisent '"'ur> ^’^'^" ^°s systématiques que leur esprit "U M, , l*^’^ ^"r conscience n’avertit pas. » En cir)g."^|[^^’ie de pression, non en faveur de prin «*^i’vi,

^evés, qui seraient une excuse, mais au Poh’*^^ d’un intérêt particulier et étroit. Ils

  • ^’^*’i principalement, la responsabilité des diffin

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