MANUSCRIT C
TRAITÉ DE l'ombre ET DE LA LUMIÈRE
56 pages écrites de 1400 à 1491, mise au net d'an- ciennes notes.
De tons les cahiers de Léonard, le plus ingrat à lire, sans figure ayant un intérêt de beauté, sans idée géné- rale, c'est un composé de démonstrations optiques, insaisissables. Il y faudrait un commentaire qui coûte- rait trop de travail à tout autre qu'un spécialiste.
On peut s'étonner toutefois qu'aucun oculiste ou ophtalmologiste, que nul de ceux qui ont l'œil pour spécialité, ti'ait daigné lire et commenter une monogra- phie si importante.
En i.fji, le 18 juin, Léonard organise les fêtes pour le mariage de Ludovic Sforza avec Béatrice d'Esté ; il recommence la statue équestre et s'occupe des écuries de Galeaz San Severino.
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��Parmi les corps égaux en grandeur et en distance, le plus éclairé paraîtra le plus grand et le plus proche.
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