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Chap. CCLVI. Comment on peut peindre un désespéré.
Chap. CCLVII. Des mouvemens qu’on fait en riant et en pleurant, et de leur différence.
Chap. CCLVIII. De la position des figures d’enfans et de vieillards.
Chap. CCLIX. De la position des figures de femmes et de jeunes gens.
ibid.
Chap. CCLX. De ceux qui sautent.
Chap. CCLXI. De l’homme qui veut jeter quelque chose bien loin avec beaucoup d’impétuosité.
Chap. CCLXII. Pourquoi celui qui veut tirer quelque chose de terre en se retirant, ou l’y ficher, hausse la jambe opposée à la main qui agit, et la tient pliée.
Chap. CCLXIII. De l’équilibre des corps qui se tiennent
en repos sans se mouvoir.
ibid.
Chap. CCLXIV. De l’homme qui est debout sur ses pieds, et qui se soutient davantage sur l’un que sur l’autre.
Chap. CCLXV. De la position des figures.
Chap. CCLXVI. De l’équilibre de l’homme qui s’arrête sur ses pieds.
Chap. CCLXVII. Du mouvement local plus ou moins vite.
Chap. CCLXVIII. Des animaux à quatre pieds, et comment ils marchent.
ibid.
Chap. CCLXIX. Du rapport et de la correspondance qui est entre une moitié de la grosseur du corps de l’homme et l’autre moitié.