nant l’illusion d’être vraiment un homme par
le godemiché, et en éprouvant un plaisir relatif.
Elle remplissait si bien le rôle que Lina
s’énamourait et, ayant déchargé, à son tour
la suppliait de changer de personnalité pour
devenir sa petite maîtresse.
Si Thérèse savait en ce moment son mari incapable de la posséder, elle se rendait au désir de sa cousine, et après avoir été un amant modèle, elle devenait une incomparable maîtresse, affolant et surexcitant sa bien-aimée baiseuse. Jacques, pour sa part, soignait sa marotte, et cette marotte, il la devait à son aventure avec la petite Pauline Turlu, la nièce d’Annette Gressac. Il profitait de la jeunesse de Léa, de sa taille pas trop élevée, de la fine délicatesse de son corps, pour lui faire revêtir des costumes de petite fille, très suggestifs, et lui produisant d’autant plus d’effet que les mollets ici apparaissaient fermes et saillants, qu’il savait trouver sur le bas-ventre la délicate toison, absente encore sur celui de Pauline, et il s’enrageait, sa belle-sœur le poursuivant sous sa toilette de fillette, à très courtes jupes, à la prendre à cheval sur ses genoux, pour qu’elle le masturbât comme avait fait l’autre. Avec une si gentille et si savante par-